Rendez-vous les 25 – 26 octobre et 15 – 16 novembre au Théâtre de l’Atelier à Paris pour les 4 dernières représentations d’Anne Paceo sur la lecture musicale de « Sorcières » de Mona Chollet. Sur scène 2 musiciennes et 4 comédiennes.
Distribution
▲ MARDI 25 OCTOBRE & MERCREDI 26 OCTOBRE
Avec
Comédiennes : Annabelle Lengronne, Christiane Millet, Grace Seri et Valérie Donzelli
Musiciennes Anne Paceo et Clara Ysé
▲ MARDI 15 NOVEMBRE & MERCREDI 16 NOVEMBRE
Avec
Comédiennes : Anna Mouglalis, Aure Atika, Clotilde Hesme, Suzanne De Baecque
Musiciennes : Anne Paceo et Clara Ysé
» C’est rock, c’est pop, c’est galvanisant. L’adaptation scénique de Sorcières rend un bel hommage au best-seller de Mona Chollet. A l’image du succès rencontré par ce livre sorti en 2018 et vendu à plus de 270 000 exemplaires, sa lecture musicale proposée au Théâtre de l’Atelier, à Paris, attire un large auditoire dans une atmosphère empreinte de sororité. Le public, essentiellement féminin, de toutes générations, se régale d’entendre cette « puissance invaincue des femmes »
Une pléiade de comédiennes (parmi lesquelles Ariane Ascaride, Valérie Donzelli, Constance Dollé, Suzanne de Baecque, Clotilde Hesme, etc.), et de musiciennes et chanteuses (Anne Paceo, Fishbach, Léonie Pernet, Clara Ysé, etc.) participent, en alternance, à cette version polyphonique de l’essai féministe le plus lu de ces dernières années. Toutes ont répondu à l’appel du collectif A définir dans un futur proche, fondé par Elodie Demey, Mélissa Phulpin et Géraldine Sarratia, qui a créé ce spectacle, en 2019, au Théâtre du Rond-Point, à Paris.
Lors de chaque soirée, quatre actrices, accompagnées d’une instrumentiste et d’une chanteuse, se succèdent et font résonner, avec force et humour, des extraits marquants de Sorcières. Sur scène, une batterie côté jardin, un bureau au parterre jonché de livres côté cour. La lecture reprend le pont dressé par Mona Chollet entre les figures féminines persécutées au Moyen Âge pour leurs soi-disant « agissements diaboliques » et leur prolongement contemporain fait de conventions et de stéréotypes ».
( Le Monde, 26.10.22 )